Un mégaprojet futuriste, des milliards promis, un lancement en grande pompe… et un enterrement discret. Voici l’histoire de ce qui devait être le symbole de la modernité kirghize.
Le 17 avril 2025, le Kazakhstan a acheminé vers l’Afghanistan un important envoi d’aide humanitaire, marquant un nouveau chapitre dans les relations pragmatiques que les deux pays cultivent depuis la prise de pouvoir des Talibans à Kaboul. Cette expédition d’envergure s’inscrit dans une stratégie diplomatique où l’assistance caritative croise habilement les intérêts économiques régionaux.
Le 15 avril 2025, la chambre basse du parlement ouzbek a approuvé en première lecture un projet de loi visant à encadrer l’usage de l’intelligence artificielle (IA). Dans un contexte mondial de course technologique effrénée, l’Ouzbékistan s’engage à son tour dans la régulation de ces outils, sans pour autant calquer le modèle européen. Une démarche singulière, entre gestion des dérives numériques et volonté assumée de ne pas freiner l’innovation.
Le 4 avril 2025, les dirigeants de l’Union européenne et des cinq pays d’Asie centrale — Kazakhstan, Kirghizstan, Tadjikistan, Turkménistan et Ouzbékistan — se sont réunis pour un sommet inédit à Samarcande, cœur millénaire de la Route de la soie. Cette première rencontre au plus haut niveau marque un tournant dans les relations euro-centroasiatiques. Pourquoi maintenant ? Et pourquoi cette région ?
À Samarcande, entre tapisseries historiques et enjeux géostratégiques, un sommet a jeté les bases d’une nouvelle réalité diplomatique. Mais derrière les sourires, quels rapports de force se redessinent entre l’Union européenne et le Kazakhstan ?
À Astana, un détail a disparu du paysage urbain. Pas de manifestation, pas de grande déclaration, simplement quelques photographies enlevées. Mais derrière ces gestes discrets, un virage politique s’amorce, bien plus profond qu’il n’y paraît.
Le 1er avril 2025, à la veille du tout premier sommet réunissant l’Union européenne et les cinq pays d’Asie centrale à Samarcande, le président de l’Ouzbékistan, Shavkat Mirziyoyev, a accordé une interview exclusive à Euronews. Dans un contexte de tensions globales et d’instabilités régionales, l’événement marque un tournant pour l’Asie centrale, qui se positionne désormais comme un acteur géopolitique stratégique entre Chine, Russie et Europe.
Au Kirghizstan, le parlement s’apprête à entériner la démission d’un auditeur de la Cour des comptes. Dans le même temps, Edil Baisalov, vice-président du Cabinet des ministres, fustige publiquement l’institution pour ses pratiques jugées nuisibles à l’image de l’État. Un double signal, à la fois discret et brutal, sur la place réelle des contre-pouvoirs à Bichkek.
La 20ème rencontre ministérielle entre l’Union européenne et les pays d’Asie centrale se tiendra le 27 mars à Achgabat, sous la présidence de Kaja Kallas, Haute représentante de l’UE pour les affaires étrangères et vice-présidente de la Commission européenne. Cette réunion abordera notamment les impacts de la guerre en Ukraine, ainsi que des sujets stratégiques tels que l’énergie, le commerce, et la gestion des ressources.
C’est le 20 mars 2019 que Kassym-Jomart Tokaïev est devenu président du Kazakhstan. Depuis cet évènement il y a six ans, le Kazakhstan a connu une transformation économique remarquable malgré les défis mondiaux. En se concentrant sur la diversification économique et le développement des secteurs non pétroliers, le pays a réalisé d’importates avancées, notamment dans l’industrie manufacturière et l’infrastructure énergétique.
Le gouvernement kazakh a créé un groupe de travail pour examiner les projets financés par l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) au Kazakhstan. Cette initiative vise à vérifier si les objectifs déclarés des programmes correspondent aux résultats obtenus, en réponse à une demande formulée par des députés.
Le 14 mars 2025, en clôture du troisième Kurultaï national, le président du Kazakhstan, Kassym-Jomart Tokaïev, a prononcé un discours axé sur la morale et les valeurs traditionnelles. Le président a insisté sur la nécessité de protéger la société kazakhe des influences étrangères néfastes, tout en promouvant l’identité culturelle nationale à travers l’éducation, la religion, l’art et les pratiques sociales, telles que le port des tenues traditionnelles.
Le Kurultaï est une institution démocratique clé au Kazakhstan, permettant de rassembler la société civile et les dirigeants pour discuter des sujets cruciaux du pays. Les décisions prises lors des derniers Kurultaï, organisés entre 2022 et 2024, ont conduit à des réformes législatives majeures concernant les droits des femmes, la sécurité des enfants, la lutte contre la dépendance au jeu, et d’autres problématiques nationales.
Un nouveau texte de loi signé par le président Kassym-Jomart Tokaïev stipule que les informations relatives à la santé et à...
Bien que l'année 2024 ait été difficile, elle a permis de poser des bases solides pour le développement futur du Kazakhstan, estime son président, Kassym-Jomart Tokaïev, dans un entretien au quotidien Ana tili. Une année pleine de réalisations Dans un grand entretien...
En 2024, le président Kassym-Jomart Tokaïev a assuré, en tant que chef de l’État, une nouvelle année riche en transformations politiques, sociales et économiques au Kazakhstan. Ses initiatives variées, allant des réformes législatives à des projets d’envergure...
Le président azerbaïdjanais, Ilham Aliyev, a exprimé sa gratitude envers le Kazakhstan pour son soutien exceptionnel suite au crash de l’avion d’Azerbaijan Airlines au-dessus d’Aktau (Kazakhstan) le 25 décembre 2024, qui a fait 38 victimes. Ilham Aliyev salue les...
L’ONG Human Rights Watch dénonce une intensification de la répression contre les opposants politiques et les médias au Kirghizstan. Les autorités sont accusées de restreindre les libertés fondamentales et de cibler systématiquement les voix dissidentes. Un climat...
Face à une montée préoccupante de la migration clandestine au Kazakhstan, la sénatrice Bibigoul Jeksembaï a exprimé ses inquiétudes dans une requête parlementaire. Selon elle, ce phénomène représente une menace pour la stabilité sociale et la sécurité nationale. Elle plaide pour des mesures rigoureuses, notamment un meilleur contrôle des frontières et des sanctions accrues contre l’exploitation illégale de travailleurs étrangers.
Le 21 novembre 2024, le président kazakh, Kassym-Jomart Tokaïev, s’est rendu en visite d’État en Hongrie, marquant une étape clé dans les relations bilatérales entre les deux nations. Cette rencontre a permis de renforcer la coopération économique, culturelle et politique. Des projets ambitieux et des accords ont été conclus, illustrant une volonté partagée d’intensifier le partenariat stratégique.
Dans un article publié dans The Diplomat, Eric Rudenshiold explore les perspectives du retour de Donald Trump à la Maison-Blanche pour les relations entre les États-Unis et l’Asie centrale. Avec une stratégie centrée sur l’énergie et les minéraux stratégiques, le nouvel agenda pourrait renforcer l’indépendance économique de la région tout en stimulant les intérêts commerciaux américains.