Un déséquilibre structurel s’impose sur le marché de l’emploi en Ouzbékistan : d’un côté, un gouvernement déterminé à créer des millions de nouveaux postes ; de l’autre, une demande croissante de compétences non satisfaites dans le tissu productif. L’étude de la Banque centrale d’Ouzbékistan révèle un fossé saisissant entre l’emploi espéré et les profils disponibles.
Dans cette ville encaissée du nord du Tadjikistan, les collines couleur rouille dissimulent un legs invisible mais redoutable : des millions de tonnes de déchets d’uranium laissés par l’ère soviétique. Alors qu’Istiklol tente de se reconstruire, le pays sollicite l’AIEA pour enfin désamorcer cette bombe environnementale à ciel ouvert.
L’Ouzbékistan vient de franchir une nouvelle étape dans sa lutte contre la pauvreté en annonçant une série de mesures sociales et économiques destinées à réduire le taux de pauvreté à 6% d’ici fin 2025, contre près de 9% fin 2024. Ce plan, présenté par le gouvernement, mêle réformes législatives, programmes d’emploi et soutien ciblé aux familles vulnérables.
Depuis le 16 septembre 2025, le mariage forcé est sanctionné comme crime au Kazakhstan, une mesure législative inédite qui affirme l’engagement de ce pays pour le respect de la volonté et du libre choix des personnes.
Un nouveau projet de loi au Kazakhstan cible les bas salaires feints : des employés hautement qualifiés rémunérés au salaire minimum pourront voir leur entreprise contrôlée, une mesure clé pour lutter contre les paiements en espèces non déclarés.
L’Ouzbékistan engage une refonte sans précédent de son système éducatif. Passage à un cycle scolaire de 12 ans, montée en puissance de la formation des enseignants et ouverture d’écoles internationales : ces réformes portées par le président Shavkat Mirziyoyev marquent une étape décisive pour aligner l’enseignement ouzbek sur les standards mondiaux.
Au Kazakhstan, une réforme sociale majeure ouvre la voie à un logement garanti pour certains médecins, une mesure inédite qui vise à enrayer la pénurie de soignants dans les régions reculées.
Au Kazakhstan, des pères en congé parental jusqu’à trois ans pourront désormais faire valoir cette période dans leur durée de retraite — une avancée sociale majeure dans ce pays.
Astana, la capitale du Kazakhstan, met en œuvre à partir du 15 septembre 2025 un ajustement inédit de ses horaires de travail pour désengorger les axes routiers aux heures de pointe, une mesure audacieuse déjà envisagée par Almaty, inspirée par des exemples internationaux de grande ampleur.
Le Kirghizstan vient de se doter d’un nouvel outil numérique baptisé « Salamattyk ukugu », destiné à améliorer l’accès aux soins médicaux gratuits. En pleine réforme de la santé, ce service vise à mettre fin aux dépenses indues des citoyens, victimes d’une information juridique complexe quant à leurs droits.
Au Kazakhstan, des caméras intelligentes équipées de reconnaissance faciale quadrillent le pays, renforçant la vidéosurveillance et fluidifiant le signalement des délits. Le pays en compte désormais 19.000.
Le 30 août 2025, le Kazakhstan célèbre le 30e anniversaire de l’adoption de sa Constitution. Texte fondateur et garant des droits fondamentaux, la Constitution a façonné l’État moderne et consolidé l’État de droit, devenant un repère essentiel dans la trajectoire démocratique du pays.
Aitu, désormais promu « messagerie nationale » du Kazakhstan, s’installe au cœur du dispositif numérique étatique dans ce pays d’Asie centrale. L’application, conçue dès 2018 comme une « SuperApp », combine messagerie, réseaux sociaux, paiements, mini‑apps et accès aux services publics. Dans un contexte de fuites massives de données, l’État encourage son déploiement dans un cadre sécurisé, tout en garantissant que l’usage personnel de services étrangers reste libre et protégé.
L’Ouzbékistan déploie une stratégie d’ampleur pour contenir la délinquance au sein des mahallas classés « rouges », en couplant surveillance par IA, responsabilisation locale et formations ciblées, dans une approche collective et technologique inédite en sécurité publique.
L’espérance de vie progresse nettement au Kazakhstan, franchissant pour la première fois la barre symbolique des 75 ans. Cette avancée place désormais le pays au-dessus de la moyenne mondiale et témoigne d’une transformation profonde du système de santé.
À l’approche du Jour de l’Indépendance, le Turkménistan a imposé une directive controversée : les artistes doivent perdre du poids sous peine d’être exclus de la scène. Cette mesure, justifiée par la promotion d’un mode de vie sain, suscite autant d’adhésions que de critiques, entre santé publique et atteinte aux droits fondamentaux.
L’Ouzbékistan ouvre un nouveau chapitre dans la modernisation de son système judiciaire : le projet de numérisation des tribunaux promet transparence, rapidité et meilleure protection des droits des citoyens.
Au Kirghizstan, le gouvernement explore l’idée inédite de légaliser la gratification des médecins par les patients. Présentée comme une « participation volontaire », cette mesure vise à encadrer une pratique déjà répandue, tout en déclenchant un vif débat sur les risques de dérives et sur la frontière fragile entre gratitude et corruption.
Le Tadjikistan mettra en place dès septembre 2025 un enseignement expérimental de l’intelligence artificielle dans 100 lycées, un projet pilote ambitieux porté par le Conseil de l’IA et inscrit dans la stratégie nationale jusqu’en 2040.
À la fin de l’été, l’Ouzbékistan se prépare à accueillir un hachar national inédit, prévu les 22 et 23 août 2025. Cette mobilisation volontaire, ancrée dans la culture de l’Asie centrale, vise à transformer les quartiers, embellir les espaces publics et renforcer la solidarité sociale.
Le Tadjikistan lance une campagne vaccinale ambitieuse contre le papillomavirus, marquant une avancée majeure dans la prévention des cancers féminins en Asie centrale.