Eau : la France et le Kazakhstan organiseront en 2024 le sommet « One Water »

La France et le Kazakhstan ont annoncé un projet ambitieux : la tenue du Sommet « One Water » en 2024. Ce projet, révélé lors de la Conférence sur le Changement Climatique des Nations Unies (COP28) à Dubaï le 1er décembre 2023, symbolise un engagement commun face aux défis climatiques mondiaux.

 

L’annonce d’une collaboration franco-kazakhstanaise pour l’eau

En décembre 2023, lors de la COP28, les présidents Kassym-Jomart Tokayev du Kazakhstan et Emmanuel Macron de France ont conjointement annoncé l’organisation du Sommet « One Water » en 2024. Cette annonce, relayée par le compte Twitter de l’initiative One Planet Summit, souligne l’engagement des deux nations à relever ensemble les défis climatiques.

Cette collaboration s’inscrit dans une série d’actions conjointes visant à lutter contre le changement climatique à l’échelle mondiale. En novembre, lors d’une visite présidentielle d’Emmanuel Macron à Astana, le Président Tokayev avait déclaré son intention de participer activement au sommet One Planet. Le sommet « One Water », qui s’inscrit dans cette collaboration internationale, vise à promouvoir des solutions efficaces et à encourager la coopération pour une gestion responsable des ressources en eau.

 

Quel est l’objectif du sommet One Water ?

Le sommet « One Water » se concentrera sur les défis liés à l’eau, un sujet de plus en plus préoccupant dans le contexte du changement climatique. L’objectif est de rassembler des experts et des décideurs pour élaborer des stratégies de gestion durable de l’eau. Le sommet est prévu en marge de l’Assemblée Générale des Nations Unies en 2024. Ce choix de lieu souligne l’importance de l’événement sur la scène internationale et sa portée mondiale.

La tenue de ce sommet dans un cadre aussi prestigieux que l’Assemblée Générale des Nations Unies est un symbole fort de la volonté des deux pays de travailler ensemble pour relever les défis environnementaux mondiaux. Et parmi ces défis, il est évident que la question de l’eau, de son accessibilité et de sa rareté sont centraux.

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