Une nouvelle figure, discrète jusqu’ici, s’impose dans les hautes sphères d’un des régimes les plus opaques au monde. Mais au Turkménistan, rien n’est jamais anodin.
Turkménistan : les routes du gaz menacées par la guerre en Iran
Alors que le Moyen-Orient s’embrase une nouvelle fois, une ombre plane sur les routes énergétiques d’Asie centrale. Le gaz turkmène, déjà enclavé entre rivalités géopolitiques et dépendances stratégiques, pourrait être le prochain dommage collatéral du conflit entre Téhéran et Tel-Aviv.
« Porte de l’Enfer » : le feu brûle moins, une victoire climatique pour le Turkménistan ?
La réduction historique des flammes du cratère de Darvaza marque-t-elle un simple geste technique, ou l’émergence d’une nouvelle stratégie énergétique au Turkménistan ? Derrière la disparition annoncée de la mythique Porte de l’Enfer, c’est un repositionnement régional, économique et climatique qui se dessine à l’échelle de l’Asie centrale.
Sous les champs, la répression : le vrai prix du coton du Turkménistan
Sous les reflets brûlants des champs de coton, derrière les rideaux opaques de la dictature, une réalité persiste : celle d’un travail imposé, d’enfants réquisitionnés, de femmes écrasées. Un nouveau rapport accablant sur les pratiques du Turkménistan en 2024 révèle une mécanique implacable du pouvoir. Le coton turkmène continue de nourrir les marchés mondiaux — au prix de la liberté, de la dignité, et parfois de l’enfance elle-même.
Récoltes sous pression : au Turkménistan, le travail forcé perdure
Sous un ciel de propagande et de coton, les autorités turkmènes s’évertuent à présenter une vitrine réformée. Mais à y regarder de plus près, derrière les champs blancs, les méthodes n’ont pas changé. Surveillance internationale, rapports accablants, enfants dans les champs : que vaut réellement la parole d’un État autoritaire lorsqu’il s’agit de droits humains ?
Turkménistan : les femmes contraintes de porter des vêtements signalant leur statut marital
À Achgabat, la capitale du Turkménistan, un nouveau règlement impose aux femmes de signaler leur statut matrimonial par des vêtements de couleurs spécifiques. Ce code vestimentaire, imposé par les employeurs sous « instruction supérieure », expose les femmes à des sanctions en cas de non-respect.